
L'information a été donnée par sa femme et plusieurs de ses proches collaborateurs. Une enquête est ouverte, affirme un officier de l’armée. Le chef des renseignements militaires avait été convoqué à plusieurs reprises ces derniers jours pour répondre à plusieurs accusations (liens avec des groupes armés, tentative de déstabilisation). Selon des sources de la présidence aux chancelleries, il avait même été suspendu. Le porte-parole de l’armée reconnaissait lui qu’une enquête avait été ouverte. Aucun commentaire officiel sur la mort du général Kahimbi à l'heure actuelle.
rfi